CARACTÈRES GÉNÉRAUX DES APPARITIONS

par François FAVRE

Parapsychologie N°6, juillet 1978

 

 Cet article a été réécrit dans une version plus complète et corrigée dans le livre "60 années de parapsychologie".

N.D.L.R. :Le présent article a été contesté par certains membres du comité de lecture de la revue, qui lui ont reproché de spéculer sans précaution sur des données dont l'authenticité n'est pas scientifiquement prouvée à leurs yeux. La rédaction a néanmoins estimé souhaitable de publier l'article, et fait à cet égard les remarques suivantes:

(1) Toutes les observations de phénomènes psi ont été contestées, le plus souvent au nom de la science. Une énergie " scientifique " énorme a ainsi été dépensée à critiquer, à répondre aux critiques, à répondre aux réponses, etc. ; énergie dont la rentabilité n'apparaît pas clairement puisque dans la majorité des cas chacun est en définitive resté sur ses positions de départ.

(2) François Favre se réfère essentiellement aux travaux de Aksakof, Morselli, Bisson et Schrenck-Notzing. Tous sont anciens et tous ont, bien sûr, été contestés ; aucun cependant n'a jamais fait l'objet par delà des mouvements d'opinion superficiels, d'une condamnation claire et unanime par l'ensemble de la communauté parapsychologique.

(3) Pour ces diverses raisons l'auteur paraît en droit d'estimer qu'une réflexion théorique sur des faits raisonnablement avérés (sans plus) prime sur une obligation de preuve que d'autres, s'ils le souhaitent, sont libres de prendre à leur charge. C'est là une position peu traditionnelle dans la recherche parapsychologique - plus souvent sur la défensive -, en contrepartie de laquelle l'auteur accepte pleinement la responsabilité du travail supplémentaire d'information, de critique et surtout d'imagination que son texte, très concentré par surcroît, peut le cas échéant exiger de la part du lecteur.

 

Nota Bene : Pour des raisons techniques, certaines illustrations de l'article original n'ont pas pu être reproduites. Les numéros entre parenthèses renvoient à la bibliographie.

1 - INTRODUCTION

I.A - Objet/sujet de l'article

Des événements extraordinaires aussi divers que certaines "pluies de sang", chutes de "manne" ou de "fils de la Vierge" (1), les apparitions de symboles sur terre, en mer ou dans le ciel (croix, mandalas, emblèmes, animaux héraldiques, etc.) (2), les vaisseaux-fantômes (3) et les soucoupes volantes (4), les observations de gnomes, fées ou lutins (5), les apparitions religieuses (Vierge Marie, anges,ou démons) (6), celles d'extra-terrestres (4), les fantômes de vivants ou de décédés (7), certains pseudo-mirages (8), ont des caractéristiques objectives et subjectives communes que nous nous proposons de présenter succintement dans cet article.

Figure I

Boules, disques, canons, croix et lances apparues en 1567 dans le ciel de Nüremberg, devant de nombreuses personnes (Bibliothèque Centrale de Zürich).

I.B - Méthode

La base de référence de cette étude comparative est constituée par les résultats expérimentaux (physiques, biologiques et psychanalytiques) relatifs à ce que Richet appelait "l'ectoplasmie" et Morselli "l'idéoplasmie" ou "rêve matérialisé" (9). L'auteur ne distinguera pas en général les cas selon le nombre des agents et/ou des percipients, les concepts de situation psi et de circuit psi s'appliquant indifféremment à un complexe affectif, un individu ou une collectivité (10).

Les notes ne renverront qu'à des exemples ou des études illustrant partiellement les caractéristiques générales présentées, aucun article ou livre de synthèse n'existant à ce jour.

Il - PHYSIQUE

II. A - Durée

La durée de ces événements va de quelques secondes à quelques heures, avec un minimum d'observations de quelques minutes (11). D'où la notion générique d'apparitions.

II. B - Conditions d'observation

L'événement se produit le plus souvent quand il existe une ambivalence lumineuse (crépuscule, aube, clair-obscur, etc.).

II.C - Aspect visuel

- La "substance" constituant ces apparitions présente tous les états possibles de la matière (gaz, liquide, solide), avec parfois passage rapide d'un état à un autre.

- La luminescence est fréquente et souvent pulsante. La luminosité paraît maximale là où la "substance" est la plus dense.

- La "substance" peut se déformer spontanément, se rétrécir ou s'agrandir, changer de coloration, se diviser ou se réunir, apparaître ou disparaître brutalement, passer de formes indéterminées à des formes géométriques et figurer même des symboles , des objets (naturels, manufacturés ou industriels), des êtres vivants (réels ou imaginaires).

- La "substance" est rarement immobile. On observe le plus souvent des oscillations. Le déplacement est parfois extrêmement rapide (pas de vitesse-limite apparente). Inerte, la "substance" disparaît en général rapidement.

- La substance a été maintes fois rapportée, avec un succès relatif, au quatrième état de la matière, le plasma physique (12).

II.D - Aspect tactile

Les impressions les plus fréquentes sont celles de viscosité, d'élasticité, de froid intense (au contact ou à distance) ; mais d'autres impressions, très diverses, ont également été ressenties.

Il.E - Paradoxes sensoriels

- Non seulement des sensations objectives s'associent à des sensations subjectives, mais des sensations objectives peuvent être parfois en contradiction entre elles :

Figure 3

Séance d'expérimentation avec le médium Eva Carrière contrôlée par Schrenck-Notzing et Mme Bisson. 13 mars 1911. D'un paquet de " substance " informe surgit progressivement des mains bi- et tridimensionnelles.

. le témoin touche l'apparition sans la voir ou inversement (13).

. le témoin touche quelque chose de liquide alors qu'il voit quelque chose de solide. Et inversement (9).

. raps à l'intérieur de murs ou de tables, sans que rien soit visible (8).

- Il y a plus aberrant : des témoins peuvent se contredire entre eux, ou être d'accord mais des enregistrements alors contredisent parfois leurs témoignages :

. pour une même apparition, un premier témoin ne fait que la voir, un second que la toucher et un troisième que l'entendre (13).

. dans d'autres cas, tous les témoins voient l'apparition, bien qu'elle s'avère parfois subjective (13). Et inversement (14).

. de même, tous les témoins peuvent entendre l'apparition mais s'apercevoir après coup qu'ils ont entendu quelque chose de différent (15). Et inversement (16).

II.F - Physico-chimie

- Odeurs très variées ; le plus souvent d'ozone , fréquemment de parfums.

- Insipidité.

- La substance, prélevée ou ramassée, se sublime en général rapidement. Mais parfois subsistent des produits très divers, organiques ou non. Il semble qu'il y ait continuité dans le temps entre l'apparition de "substance" et la (dé-) matérialisation de corps matériels, généralement ordinaires mais parfois d'apparence artificielle.

II. G - Continuité des différentes apparitions

Elle est observée aussi bien dans le temps que dans l'espace :

. transformation figurative à vue au cours de séances expérimentales ou d'observations spontanées (17).

. Vierge Marie sortant d'une soucoupe volante (Fatima, San Damiano, Garabandal).

. chute de "manne" au passage d'une soucoupe volante (18).

. Au XVIIIe au XXe siècle, transformation progressive de vaisseaux-fantômes en bateaux aériens, puis en soucoupes volantes (3.b.).

. fréquence comparable, pour une région donnée, entre les observations d'OVNI et celles de poltergeists (19).

 Figure 5

San Damiano. 27 novembre 1971. La Vierge Marie apparaît, émergeant d'une boule lumineuse (cliché L. Boucquey).

III - PARAPSYCHOLOGIE

III.A Psychophysique

Figure 4

Séance contrôlée par Mme Bisson. 9 janvier 1913. Un amas de " substance " sort du nombril du médium dénudé et va s'agripper à ses mamelons.

- Les apparitions n'ont nullement les caractéristiques causales de la matière ordinaire non plasmatique ; elles présentent par contre tous les aspects (dont la temporalité ambivalente) d'images mentales (9.b et d.). Ainsi s'explique-t-on l'infinie plasticité des formes et du comportement de la "substance".

- Le plasma physique pourrait être défini comme de la matière en situation psi : les noyaux ("l'inconscient, le viscéral") se trouvent en relation directe avec la réalité objective, sans l'intermédiaire "musculo-sensoriel" des électrons.

 

III.B. Psychophysiologie

Figure 6 Le galion (illustration de F. Frazetta . 1973)

- A la base de toute situation psi (dont on rend parfois responsable une ambivalence lumineuse on trouve toujours des contradictions soit intersensorielle, soit sensorimotrice, soit végétative - de nature fonctionnelle, organique ou même structurale (déformations osseuses temporaires) - qui, toutes se ramènent à une incertitude affective, c'est-à-dire un conflit au sens large. Ainsi trouve-t-on, chez le "participant" d'une apparition, des phénomènes psychosomatiques multiples : hypo- ou hyperesthésie, picotements, dermographies, paralysies, dématérialisations corporelles temporaires (20), guérisons ou maladies inexpliquées postérieurement à l'apparition, etc.

- Les oscillations (mécaniques ou lumineuses) de la "substance" ont pu être rapportées expérimentalement à certaines fréquences de rythmes organiques, en particulier celles de la respiration (21). Dans le cas d'un groupe (par exemple, la foule de Fatima en situation psi), on peut supposer que l'oscillation de l'apparition répond à certains rythmes physiologiques paradoxaux se propageant dans la foule.

- Une approche similaire pourrait être faite sur le rythme de certaines apparitions, qu'on a rapporté, chez certaines femmes médiums, au rythme menstruel (9).

III.C - Psychanalyse et circuit psi

- Toute représentation mentale ne fait qu'exprimer l'état présent d'une psyché (individuelle ou collective) (22) ; elle constitue la solution symbolique d'un conflit qui ne peut (et/ou ne veut) être ni refoulé ni défoulé. Autrement dit, l'imagination effectue toujours une mise en scène "extra-corporelle"

. rêve ordinaire.

. apparition d'un défunt dans un groupe ayant besoin de croire à la survivance pour compenser la perte d'êtres proches.

. apparitions "télépathiques" où différents percipients, en des lieux différents (et même parfois à des moments différents) voient des formes différentes.

. apparitions contemporaines d'extraterrestres dans une civilisation qui meurt de sa technologie.

 

- L'homme tendant à rapporter ses conflits à des causes matérielles OU à des fins spiritueIles,

il les fige en phantasmes sans les résoudre (2.a). D'où l'aspect chronique de certaines

apparitions et le problème éthique que pose leur reproduction expérimentale :

. relations statiques entre certaines vagues nationales d'OVNI et les "creux" économiques de ces pays (23).

. hystériques produisant des ectoplasmes et entretenus dans leur névrose par l'exercice de leur

médiumnité.

. groupes mystiques contemporains matérialisant des soucoupes volantes dans l'espoir de

révélations décisives sur le destin de l'humanité (24).

Figure 7 Ile de Trinitad (Brésil). 16 janvier 1958. Observation d'une soucoupe volante par plusieurs membres d'équipage d'un navire de recherche hydrographique.

- Les modes de relation du "participant" avec l'apparition sont ambivalents et complémentaires (à la fois perception et percipience, action et agence):

. Ovni en vol : le témoin objectif effectue parfois consciemment une psychocinèse sur le déplacement (ou la luminosité) de la soucoupe, devine sa trajectoire, dialogue avec le pilote (25).

. rêve prémonitoire d'apparitions objectivées de fantômes, de soucoupes (26) ou de la Vierge Marie.

. au sol, les extraterrestres ramassent la végétation devant un fermier, des minerais devant un

prospecteur, réparent leur soucoupe devant un mécanicien (27).

. au cours de séances médiumniques (29) comme de certains "contacts" avec des extra

terrestres (30), les fantômes parlent une langue étrangère que l'analyse linguistique rapporte

à la déformation d'une langue connue du "participant".

- On distingue parfois pour une même apparition des témoins apparemment objectifs et des

témoins apparemment subjectifs. Il existe alors entre eux une complémentarité affective

(situation psi) engendrant le circuit psi.

- L'apparition disparaît (rationnellement et/ou irrationnellement) quand le circuit psi est

interrompu, c'est-à-dire quand les participants ne sont plus en situation psi concordante ou lorsque l'un d'eux n'est pas (ou plus) en situation psi :

. un étranger (affectif) participant à une séance expérimentale d'ectoplasmie, empêche l'apparition de se produire.

. souvent, lorsqu'un automobiliste, roulant de nuit dans la campagne, est accompagné par un

OVNI, celui-ci disparaît inexplicablement pendant que le conducteur traverse une ville et

reparaît ensuite.

. parfois, l'OVNI se cache derrière une colline ou un bosquet lorsque des "étrangers" passent,

puis reparaît ensuite (27).

- En première approximation, les atterrissages d'OVNI paraissent inversement proportionnels

à la population : comme les poltergeists, ils illustrent des conflits violents et très personnalisés, se développant plus facilement dans un relatif isolement social. Les apparitions d'OVNI en vol paraissent au contraire proportionnelles : comme les hantises de lieu, elles illustrent une mythologie collective (28).

 Figure 8

Apparition de dirigeable fantôme (gravure, d'après photographie, présentée dans le Chicago TimesHerald du 12 avril 1897).

III.D - Chronologie psi (logique et morale)

- De façon générale - la distinction entre petite et grande hantise étant bien fallacieuse (31) -, on observe une tendance du circuit psi à inclure de nouveaux participants ou à les substituer à d'anciens, processus de propagation qu'on observe dans la fixation légendaire. Celui qui, participant à une apparition, y voit la preuve de ses croyances, croit celles-ci extensibles à autrui. Et autrui, parfois accepte le tout. De personnelle, l'apparition devient alors collective : hantise de personnages illustres, vaisseaux-fantômes (3.b), contagion d'atterrissages d'OVNI (32), soucoupes "inventées" par Adamski et observées réellement ensuite par des témoins différents (33).

Figure 9 Apparition de boules noires puis rouges, s'entrechoquant " comme si elles menaient un combat ", au-dessus de Bâle en 1566 (Bibliothèque Centrale de Zürich).

Figure 10 " Tous les vendredis les Titans parcourent nos buanderies d'un vol rapide avec de fréquents crochets " (La Femme 100 têtes. Max Ernst).

 

En tant qu'état affectif, la vie ne saurait avoir de signification. Irrésolu, un conflit est toujours supposé appartenir à autrui : l'image mentale, qui n'en est que la solution symbolique, a son espace-et-temps "ailleurs". Résoudre un conflit, c'est l'amener "ici", le faire sien, le situer dans un présent affectif, résorber l'apparition en une signification.

Or, bien que la science repose sur l'affirmation d'un déterminisme universel, la physique se borne à déterminer la matière et la psychanalyse l'esprit ; on ne s'étonnera donc pas de leur incapacité respective à rendre compte globalement d'une apparition, qui se présente à elles avec un caractère irréductible d'étrangeté.

L'autodéterminisme affectif que proposent certains théoriciens de la parapsychologie consiste à appréhender chaque événement causalement ET finalement : toute image mentale est psi pour qui veut assimiler autant qu'inventer les rapports de l'esprit et de la matière :

. le phénomène OVNI, parce que névrotique, nie toujours a posteriori les lois objectives par lesquelles on croit l'avoir défini.

. les systèmes causalistes et clos de l'inconscient ne peuvent rendre compte de la matérialité d'une apparition.

tous les rêves sont psi à qui leur donne un sens (22).

. si les travaux parapsychologiques sur la mémoire se sont tellement embourbés, c'est que les chercheurs ne voulaient qu'un processus causal. Le souvenir est psi ni plus ni moins que toutes les autres percipiences.

. les humanoïdes habitent des planètes étrangères, comme les esprits décédés un autre monde, pour la bonne raison que les désirs de survie des "participants" ne proviennent que de leur réalisation passée ou future, c'est-à-dire d'un présent virtuel.

- La mort paraissant à l'occidental un conflit que l'individu ne saurait résoudre, on trouve toujours en filigrane le mythe de l'au-delà dans les apparitions collectives. L'art, en exprimant leur étrangeté, les sciences classiques en tâchant de la refouler, transcendent le conflit sans le résoudre : l'apparition change alors simplement de forme. Sisiphe, qui avait cru enchaîner Thanatos, remonte éternellement son rocher. L'étrangeté, néanmoins, va en diminuant : aux divinités païennes succèdent les anges et les démons, puis les apparitions de saints, et, au XIXe siècle, les esprits des défunts ( 10). Les extraterrestres contemporains repartiront à bord de leurs soucoupes quand la parapsychologie sera reconnue, c'est-à-dire quand l'homme occidental admettra qu'il lui arrive ce qui lui ressemble et que son destin, à jamais présent, n'appartient qu'à lui. Sa survivance ira alors de soi.

 

III.E - Réalité psi (objet et sujet)

Des chercheurs comme Morselli et Schrenck-Notzing (9) qui démontrèrent expérimentalement la réalité ambivalente (objective ET subjective) des apparitions collectives ont été rayés, par l'école de Rhine, de l'histoire de la parapsychologie. Nullement du fait que les médiums fraudaient souvent ou que les fantômes expérimentaux disparurent d'Europe vers 1930 avec le spiritisme, mais parce qu'il y avait de la logique occidentale. Un fantôme doit être, selon les normes en vigueur objectif OU subjectif : les OVNI ne peuvent être qu'un mythe OU des engins matériels. J'en suis navré pour l'Occident, mais la pensée n'est pas plus dissociable de la matière que le conscient ne l'est de l'inconscient. La réalité est une. D'où la nécessité de concepts comme la potentialisation et l'actualisation, seuls susceptibles de "résoudre" certains paradoxes "apparents" :

. toute image subjective est susceptible d'objectivation (photos, télékinésies, empreintes, etc. de fantômes).

. et inversement (dématérialisation de matières inertes ou de corps vivants).

Figure 12

Séance contrôlée par Mme Bisson. 23 février 1913. Apparition d'un corps bidimensionnel et " dessiné " derrière le médium.

 

SITUATION PSI : relation affective complémentaire entre l'agent et le percipient, nécessaire à la production d'un événement psi. La situation psi englobe tous les états prétendument "altérés" de conscience : rêverie, rêve, transe, hypnose, catalepsie, thanatose, etc.

CIRCUIT PSI : aspect cybernétique de la situation psi, tel que le percipient projette objectivement vers l'agent ce que celui-ci introjette subjectivement vers le percipient.

 

RÉSUMÉ : Bref exposé systématique des caractères physiques, psychiques et psychophysiques des apparitions (fantômes, OVNI , pseudomirages, etc.) Inadéquation, pour en rendre compte, des concepts d'objectivité et de subjectivité, pris isolément.

ABSTRACT : A short systematic statement of the physical, psychical and psycho-physical charactenstics of apparitions (ghosts, UFOs, pseudo-mirages, etc. J. The author shows that neither a purely subjective nor a purely objective approach suffice to account for them, as they appear to belong simuftaneous/y to both reaims.

ZUSAMMENFASSUNG : Kurze systernatische Darlegung der physischen, psychischen und psychophysischen Kennzeichen der Erscheinungen (Gespenster, UFO, faische Luftspiegelungen, usvv). Einzeln betrachtet kann vveder der Segriff der Objektivität noch der Subiektivität diesen Phänomenen gerecht werden.

 

 

BIBLIOGRAPHIE

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3. a). V. Gaddis : "Les vrais mystères de la mer" (France Empire, Paris, 1966)

b). F. Favre : "Maggonia" (Imagine N°3,4ème trimestre 1976)

4. J. Vallée : "Chroniques des apparitions extraterrestres" (Denoël, Paris, 1972)

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Revues ufologiques (1).

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6. Confer. les innombrables ouvrages sur Lourdes, Fatima, San Damiano, Kerizinen, Garabandal, etc

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b). E. Morselli "Psicologia e Spiritismo" (Fratelli Bocca, Turin, 1908)

c). J.A. Bisson "Les phénomènes dits de matérialisation" (Alcan, Paris, 1914)

d). A. Von Schrenck-Notzing : "Phénomènes physiques de la médiumnité" (Payot, Paris, 1925)

10. F. Favre "Les enfants du lac de Constance" (Parapsychologie, NS, N° 1 décembre 1975 et N° 2, avril 1976)

11. C. Poher "Etudes et réflexions à propos du phénomène OVNI" (LDLN, février 1976)

12. G. Lehr et A. Michel : "Pour ou contre les soucoupes volantes" (Berger-Levrault, Nancy, 1969)

J.E. Donald : "OVNI" (PS, numéro hors série, 2e trimestre 1969 )

P.J. Klass : "Plasma Theory may explain many UFOs" (Aviation week, 22 août 1966)

13. G.N.M. Tyrell : "Apparitions et fantômes" (Fasquelle, Paris, 1964)

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17.enquête du GICOFF : "L'étrange force qui déplaçait la voiture" (PS, décembre 1972)

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22. F. Favre "Des résistances névrotiques à la parapsychologie" (Revue métapsychique/Parapsychologie N° 19/20. 1974)

23. P. Vieroudy : "Vagues d'OVNI et esprit humain" LDLN: avril 1976)

24. P. Peillon : "Expériences du groupe de parapsychologie de Brasilia" (Vues nouvelles, avril 1975)

C. Vorilhon "Les extraterrestres m'ont emmené sur leur planète" (Ed. du Message Brantôme 197

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M. Valembois : "Observation à Bully-les-Mines" (LDLN, novembre 1975)

26. enquête de Lobet et Baret : "Atterrissage à Petite lle" (LDLN, août 1975)

27. Weverbergh " Remarques préliminaires sur la structure du phénomène ufonaute" (LDLN décembre 1973)

P. Vieroudy "Le phénomène OVNI est-il indépendant de l'homme ?" (LDLN, janvier 1975)

28. J. Vallée : "Le modèle derrière les atterrissages d'OVNI", in C. Bowen : "En quête des humanoïdes" (J'ai lu, Paris, 1974)

D. Saunders : "UFOCAT" (publié par l'auteur)

C. Poher : "Études statistiques portant sur mille témoignages d'observations d'UFO" (publié par l'auteur, 1972)

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20. O.A. Galindez : "Le cas Zagorski" (LDLN décembre 1971)

31. J. Mathieu : "Les hantises" (Parapsychologie, NS, NO 1, décembre 1975)

32. F. Toulet . "Les observations d'OVNI obéissent-elles à un processus contagieux ?" (PS,juin 1974)

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F. Boitte et J. Scornaux "Adamski : une mise au point nécessaire" (Inforespace. N° 10 et 11. 1973)

 

 

 

1. Revues ufologiques :

• Flying Saucer Review (FSR)

• Phénomènes spatiaux (PS)

• Lumières dans la nuit (LDLN)

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